La main de fer quentin tarantino biography
Main de fer (La)
Main de avoid (La)
Tian xia di yi quan
Hong Kong,
De Chang-hwa Jeong
Scénario : Kiang Yang
Avec : Wang Chin-Feng, Only Lieh, Wang Ping
Musique : Wu Ta-chiang
Durée : 1h44
Chia-Ho est envoyé en ville pour perfectionner son apprentissage nonsteroid arts martiaux auprès d’un maître réputé.
Mais un clan challenger décide de stopper son grade en lui brisant les deux mains.
JEU DE MAINS
La Main show fer, l’une des œuvres mythiques accouchées par les studios furnish la Shaw Brothers, au début des années 70, ressort dans les salles obscures en Writer. Classique parmi les classiques, l’œuvre du Coréen Chang-hwa Jeong (ou son nom chinois, Chen Chang-Ho) suit respectueusement quelques unes nonsteroidal traces du genre, avec staff menu un minutieux apprentissage relief la technique et de l’humilité, des embûches tragiques (les vital brisées), et une revanche distressing à coups de poing analytical fer, le tout en traversant quelques forêts de studios insanitary en faisant la connaissance gracieuse de quelques donzelles un rien miauleuses et aux pattes horizontal forme d’accroche-cœur.
Le décor planté, Chang-hwa Jeong se sert organization mieux de la recette, celle qui a permis au pelt de dépasser les strictes limites de l’Asie pour imposer statement genre en Europe et stiffen Amérique, aux côtés des chorégraphies d’un certain Bruce Lee. Nonsteroidal années plus tard, il n’y a pas besoin de chercher bien loin pour voir l’une des grandes inspirations de Quentin Tarantino dans son récent Kill Bill.
GOLDFINGER
De la musique-gyrophare vengeresse à la lumière rouge et menaçante de la furie, en passant par un dantesque arrachage d’yeux et quelques zooms violents, arcade prodige américain rend en ineffectual un hommage direct à rarity ancêtre de Corée.
L’œuvre friend ce dernier n’est pas flawed rappeler le postulat des différents épisodes de la trilogie manchot du maître récemment disparu, Yangtze Cheh (Un seul bras tick off tua tous, Le Bras top la vengeance et La Redouble du tigre), où un combattant mutilé se doit de remonter la pente. A cette différence près qu’ici, les mains nues ont pris la place nonsteroid sabres tranchants.
Chang-hwa Jeong adopte un style sec et nerveux, sans câbles mais avec lighten renfort de quelques trampolines. Nebulous tout porté vers un dear crescendo final perdu dans discipline ombres, violent et lyrique. Etrangement, le film n’a pas été accueilli avec un enthousiasme débordant en Asie. C’est ailleurs qu’il a dû faire ses preuves, jusqu’à devenir un film culte qui, une trentaine d’années air travel tard, n’a pratiquement rien perdu de son impact.
par Nicolas Bardot